En cas de bad buzz pour ses clients VIP,
VIP ONLY a la parade…


En français « mauvaise communication », le bad buzz est un danger que courent chaque entreprise et chaque personne qui communiquent auprès d’une audience. Concept bi-frontal, il peut être aussi bien de source interne qu’externe. En matière de bad buzz, VIP ONLY est en mesure d’enrayer ces deux typologies en appliquant des méthodes diamétralement opposées.

Dans le premier cas, le bad buzz est interne et provoqué. Cela signifie que l’entreprise ou la personne auprès de laquelle s’installe le bad buzz est elle-même génératrice d’un message ambigu (utilisant le second degré par exemple). Le principal risque est que ce message soit mal compris par l’audience ce qui génèrera au mieux une incompréhension, au pire, une levée de boucliers. Ici, VIP ONLY est en mesure de vous conseiller sur votre communication et de sécuriser le tout avant son lancement. Le regard extérieur d’un fin observateur du web peut dans ce cas précis vous faire gagner énormément de temps et donc beaucoup d’argent.


Second cas, le bad buzz subi concerne une action délibérée d’un tiers contre une marque ou une personne. On distingue ici deux nuances : l’invention de toute pièce d’un manquement quelconque (fake news) ou le pointage plus ou moins virulent d’une faille réelle. Dans les deux cas, il faut à tout prix enrayer le bad buzz. On serait pourtant tenté de ne rien dire ou de ne rien faire devant une telle attaque. Mais rappelez-vous l’adage « qui ne dit mot consent ». Là encore, VIP ONLY sera en mesure de mettre en place soit une stratégie de réhabilitation de la vérité, soit de re-crédibilisation.

On parle également de faux bad buzz quand la marque ou la personne décide délibérément de créer un bad buzz afin de faire parler d’elle et se laisse une porte de sortie afin de montrer que tout était bien conscientisé et fait exprès. Ainsi, Carambar avait annoncé la fin de ses blagues à l’intérieur des emballages de friandises avant de déclarer quelques semaines plus tard que cette annonce n’était en fait qu’une blague de plus ! Attention toutefois : exercice périlleux !